Accueil A la une Burkina: une cinquantaine de présumés délinquants interpellés en un mois

Burkina: une cinquantaine de présumés délinquants interpellés en un mois

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La police nationale du Burkina Faso a procédé, dans le mois d’octobre 2022, à l’interpellation de 50 présumés délinquants, au cours de grandes opérations de l’institution policière, a appris Wakat Séra.

Ils sont 50 personnes à être mises aux arrêts par la police nationale du Burkina Faso, au cours du mois d’octobre 2022, pour des faits de vols à main armée, faux et usage de faux, vols avec effractions, trafic de stupéfiants, trafic d’engins à deux roues, usurpation de titre, agression, trafic de produits prohibés et escroquerie.

Ce sont en tout 44 présumés malfrats qui ont été interpellés dans la région du Centre. Quatre ont été mis aux arrêts par le Commissariat central de police de Ouagadougou, pour vol à main armée et les deux autres pour faux et usage de faux; 18 par le Service régional de la police judiciaire du Centre, pour vols avec effractions et trafic de stupéfiants; sept autres par le Commissariat de police de l’arrondissement de Baskuy, dont six d’entre eux pour vols à main armée et un pour vols avec effractions; quatre ont été arrêtés par les éléments du commissariat de police de l’Arrondissement 8, dont deux faisaient du trafic d’engins à deux roues et de drogue et les deux autres s’adonnaient aux vols à main armée et d’usurpation de titre et 11 sont tombés dans les filets du Commissariat de police de l’Arrondissement 9, pour agressions et vols à main armée.

Au niveau de la région des Hauts-Bassin, il a été interpellé quatre présumés trafiquants de produits prohibés et dans la région du Plateau-Central ce sont deux présumés escrocs qui ont été mis aux arrêts.

Avec ces arrestations, la police a pu saisir deux pistolets automatiques, des munitions, une somme de 709 000 F CFA, des cachets contre-faits, des faux documents administratifs, 24 engins à deux roues, 21,74 tonnes de produits prohibés et 26 kilogrammes de drogues, entre autres.

Par Daouda ZONGO