Les Mutilations génitales féminines (MGF) sont des pratiques ancestrales dont les conséquences néfastes ne sont plus à démontrer. Plusieurs femmes ayant subi ces pratiques vivent aujourd’hui avec des séquelles aussi bien psychologiques que physiques. Les plus malchanceuses ont perdu la vie suite à des saignements à cause de l’excision. Au Burkina Faso, une lutte a été engagée depuis trois décennies, contre ces pratiques qui jouent négativement sur l’épanouissement de la fille et de la femme en général. Malgré cette lutte, la pratique des MGF reste toujours présente. Afin de contribuer à cet effort pour l’atteinte des objectifs « tolérance zéro d’ici 2030 », Wakat Séra a produit une série d’articles sur le sujet.
Burkina : la lutte contre les Mutilations Génitales Féminines sous autre forme
Mutilation Génitale Féminine: les textes en vigueur au Burkina
